23 avril, 2025

Fiction n°108 – Novembre 1962

Nouvelle formule pour Fiction qui passe de 144 à 176 pages (un volume de 32 pages supplémentaires assez considérable) : un numéro qui marque autant qu'un Fiction spécial tant les auteurs choisis font partie du haut du panier. Des nouvelles restées inédites depuis, une de Poul Anderson, une autre d'Idris Seabright, des récits qui se répondent, des recensions de qualité… Fiction marque ici, après son numéro 100, un de ses sommets.

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Sommaire du Numéro 108 :


1 - (non mentionné), Pourquoi une nouvelle formule ?, pages 5 à 5, article

2 - (non mentionné), Nouvelles des auteurs de ce numéro, pages 6 à 8, bibliographie


NOUVELLES

3 - Poul ANDERSON, Le Peuple de la mer (Progress, 1962), pages 9 à 52, nouvelle, trad. P. J. IZABELLE *

4 - Fritz LEIBER, La Grande caravane (The Big Trek, 1957), pages 53 à 57, nouvelle, trad. Alain DORÉMIEUX

5 - Gérard KLEIN, Le Vieil homme et l'espace, pages 58 à 69, nouvelle

6 - Robert HEINLEIN, La Mère célibataire (All You Zombies—, 1959), pages 70 à 84, nouvelle, trad. Michel DEUTSCH

7 - Arthur C. CLARKE, Quand Saturne se lève (Saturn Rising, 1961), pages 85 à 95, nouvelle, trad. P. J. IZABELLE

8 - Jean RAY, Irish whisky, pages 96 à 106, nouvelle

9 - Idris SEABRIGHT, Eithné (Eithne, 1957), pages 107 à 117, nouvelle, trad. Alain DORÉMIEUX *

10 - Jorge Luis BORGES, Abenhacan el Bokhari mort dans son labyrinthe (Abenjacán el Bojarí, muerto en su laberinto, 1951), pages 118 à 126, nouvelle, trad. Roger CAILLOIS

11 - Fereydoun HOVEYDA, La Manne du ciel, pages 127 à 128, nouvelle *

12 - Richard MATHESON, Moutons de Panurge (Lemmings, 1958), pages 129 à 130, nouvelle, trad. P. J. IZABELLE

13 - Montague Rhodes JAMES, La Chambre n° 13 (Number 13, 1904), pages 131 à 143, nouvelle, trad. Georgette CAMILLE

14 - Pat MALLET & Michel PELTIER, La Vie privée du vampire, pages 145 à 147, bande dessinée 

CHRONIQUES

15 - COLLECTIF, Ici, on désintègre !, pages 148 à 162, critique(s)

16 - COLLECTIF, Le Conseil des spécialistes, pages 165 à 165, critique(s)

17 - (non mentionné), En bref, pages 166 à 167, article

18 - Jacques GOIMARD, Les Grands-Bretons en quête de péplums, pages 169 à 171, article

19 - F. HODA, Une Comédie de science-fiction, pages 171 à 173, article

20 - Jacques GOIMARD, Nouvelles du front de l'épouvante, pages 174 à 175, critique(s)


* Nouvelle restée sans publication ultérieure à ce numéro.

" (...) si l’industrialisation peut alimenter et habiller mieux les gens, ne mérite-t-elle pas de vaincre ? »

— « Qui dit qu’elle le peut ? » riposta-t-elle, « Elle peut nourrir et vêtir un plus grand nombre de gens, c’est vrai. Mais la quantité est-elle symbole de qualité, Lorn ? Ne souhaitez-vous pas conserver, sur Terre, des endroits où l’homme puisse se retirer dans la solitude ?

» Et puis, en supposant que l’industrialisation commence à se répandre : pensez à la période de transition. Un jour, je vous ai parlé des horreurs qui se sont déroulées (et c’est historique) lorsque les anciens Communistes ont voulu occidentaliser leurs pays en un jour. Eh bien, cela recommencerait. Pas du fait des Brahmards : ils sont foncièrement bons. Mais d’autres meneurs, partout ailleurs – à moitié barbares, puérilement avides de pouvoir et de prestige, détruisant dans leur impatience leurs propres cultures – de tels meneurs surgiraient.

Oui, vous avez bien reconnu l'idéologie un peu réactionnaire de Poul AndersonLe peuple de la mer propose une suite au "Peuple du Ciel", reprenant la description d'un futur post apocalyptique aux siècles de la cicatrisation et de la reconstruction, par la description de ses peuples et leurs interactions. Mais dans cet opus demeuré inédit ensuite, le procédé parait plus artificiel, surprend moins, et est aussi un peu déséquilibré en matière d'enjeux et de péripéties - un démarrage un peu poussif et parfois abstrus. On notera, comme pour le "Peuple du ciel", la présence d'un glossaire en fin de récit.

Fritz Leiber, dont on connait la potentielle cruauté à l'encontre des protagonistes de ses nouvelles, montre dans La grande caravane un attachement tendre pour une communauté hétéroclite d'extraterrestres, malgré un contexte sinistre mais finalement de peu d'importance.

Le vieil homme et l’espace, une intéressante introspection, faite de séquences diverses, où un vieil astronaute fait le bilan de ce qui l'a motivé à prendre les chemins de l'espace et entraîner l'espèce humaine avec lui. Du Gérard Klein "nouvelle manière" comme dirait Alain Dorémieux, sombre, un rien désespéré, mais questionnant.

"L'emberlificotage" des paradoxes temporels sert de scénario à un Robert Heinlein toujours efficace dans son style vif et ses personnages qui attirent la sympathie, dont La mère célibataire.

D'un thème similaire à la nouvelle de Klein, Arthur C. Clarke ajoute dans Quand Saturne se lève l'intuition qu'un pouvoir privé suffisamment riche financerait la route vers les planètes, ici le spectacle des anneaux de Saturne. On était alors en pleine science-fiction…

Dans Irish whiskynouvelle de jeunesse de Jean Ray, dont on reconnaît déjà l'univers morbide et pétri de vengeances surnaturelles, l'auteur semble toutefois hésiter ici entre deux formes de narration, petit défaut qu'il apprendra à maîtriser par la suite. On recommandera la nouvelle à tous ceux qui aiment frémir des histoires d'araignées.

S'émanciper pour une femme dans la société victorienne, c'est faire le choix d'une troisième voie par delà le bien et le mal. A travers une fable de petit peuple de la mer, Idris Seabright invite Eithnéson héroïne, à choisir cette troisième voie pour échapper à la soumission que le patriarcat appelle "devoir", sans risquer de se perdre dans le piège de l'isolement.

Comme chez Edgar Poe, l'enquête policière chez Jorge Luis Borges prend des atours métaphysique, et n'est pas l'opération d'un dévoilement de la vérité, mais l'établissement d'une explication acceptable et satisfaisante sur le plan symbolique. Dans Abenhacan el Bokhari mort dans son labyrinthe, on retrouve les constructions en cercles, qui nous invite à parcourir le texte de façon transversale, c'est à dire à le relire encore et encore.

Un peu gratuite, La manne du ciel de Fereydoun Hoveyda pose une confrontation d'échelle qui sous-entend qu'il n'y a pas de don pour Dieu, et qu'Il ne saurait nous considérer autrement que nous considérons les insectes.

Le comportement collectif nous rend semblables à des espèces animales agissant par instinct. Richard Matheson dépose en creux, avec Moutons de Panurge, la sensation que l'espèce humaine s'est affranchie de ses instincts. Mais est-ce bien sûr ?

On trouve peut-être dans La chambre N° 13 la source des espaces superposés qu'affectionne Jean Ray. Montague Rhodes James en dit peu sur les explications et multiplie les fausses pistes pour s'autoriser des sorties qui placent des contextes. Imbrications, enchevêtrements, le péril frôle les vivants l'espace d'un instant… Mais James nous met d'accord : ces manifestations surnaturelles désirent nous dire quelque chose.

Attention, fait rare : avec La vie privée du vampireFiction se risque à publier des dessins sur la durée (4 numéros)  !

On notera dans le sommaire l'apparition aux côtés des genres "Science-fiction" et "Fantastique", le troisième genre "Insolite". La rédaction s'en explique dans une petite note.

 " Le mois dernier, ne pouvant les attribuer à la science-fiction ni au fantastique, nous présentions des histoires sous une rubrique intitulée « Hors-série » dans notre sommaire. Notre ami Stephen Spriel nous suggère d’employer un terme commode pour qualifier de telles histoires – à savoir le terme : Insolite. Son défaut est d’être vague, donc de pouvoir recouvrir des notions variables ; sa qualité, en revanche, de marquer une distinction précise avec le fantastique qu’on appellera traditionnel. Maintes histoires présentées dans « Fiction » appartenaient en fait à cet insolite qui est, si l’on veut, un fantastique moderne. Exemples : divers textes de Sternberg, Buzzati, Mandiargues, Owen, Damonti, Béalu, Topor – sans parler de beaucoup de contes du Banc d’Essai. Caractéristique principale : substituer aux ressorts essentiels du fantastique classique (qui sont en principe de type surnaturel) des effets plus subjectifs, souvent sous-entendus, qui peuvent être axés vers le symbolisme, ou l’absurde, ou l’onirisme, ou la psychologie, mais qui de toute façon correspondent à une « intériorisation » très nette de la démarche de l’esprit vers le fantastique. Au point de développement où en est la revue, il nous semble utile de concrétiser maintenant cette catégorie. C’est pourquoi vous trouverez dorénavant à nos sommaires, en annexe à la séparation habituelle en deux genres, une troisième branche dite « insolite » – et ce mois-ci représentée par les trois textes qui suivent. "

On rappellera que Stephen Spriel est l'un des deux co-directeur de la collection "Le rayon fantastique" qui publie essentiellement des romans… de science-fiction.

On trouvera un sacré florilège pour les critiques de Ici, on désintègre ! dans ce numéro. Entre autres, La cité et les astres d'Arthur C. Clarke, que nous vous proposons en bonus en regard de la recension qu'en fait Demètre Ioakimidis.

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Arthur C. Clarke : La cité et les astres. 

Voilà enfin offert au lecteur de langue française un des plus grands chefs-d’œuvre de la science-fiction contemporaine, un récit dont les qualités de couleur, de poésie et d’architecture méritent qu’on lui applique cet adjectif dont on abuse souvent : inoubliable.

L’histoire de ce livre (c’est-à-dire la façon dont il vit le jour, et non l’action qu’il raconte) a été résumée par son auteur en une préface qui n’a pas été incluse dans cette version française. Arthur Clarke commença à l’écrire en 1937, alors qu’il était âgé d’une vingtaine d’années, et en acheva la première version en 1948. Celle-ci s’intitulait « Against the fait of night », et fut refusée, paraît-il, par John W. Campbell jr., ce qui ne parle guère en faveur de la clairvoyance du rédacteur en chef d’« Astounding Science Fiction ». Le récit fut publié en 1948 dans un autre magazine, « Startling Stories », et les lecteurs l’accueillirent avec enthousiasme. Cependant, le passage des années rendit l’auteur mécontent de son œuvre, et Clarke récrivit son récit, en augmentant ses dimensions : il en résulta « The city and the stars » qui parut en volume, aux États-Unis et en Angleterre, en 1956. 

Un milliard d’années a passé. Après avoir conquis les astres, l’humanité a progressivement oublié sa grandeur ancienne. Dans la cité de Diaspar, dont les habitants poursuivent des recherches esthétiques gratuites lorsqu’ils ne se laissent pas simplement vivre, vit un jeune non-conformiste, Alvin, qui cherche à savoir ce qu’il y a hors des limites de cette cité parfaite (ce n’est sans doute pas par hasard que le nom de Diaspar est un anagramme de paradis, même sans le e final du vocable anglais). Alvin découvre ainsi successivement l’autre cité vivante de la terre, Lys, et sa civilisation pastorale. Il explore ensuite l’ancienne forteresse de Shalmirane où, selon la légende, l’humanité livra son ultime combat contre les mystérieux envahisseurs venus du dehors. Non content de ce qu’il apprend, il cherche de plus en plus loin, dans le passé et dans l’espace… 

C’est, très simplement, cette quête que raconte le livre, cette quête et ses conséquences pour les habitants de Lys et de Diaspar. Il s’agit donc d’un récit à la structure linéaire, ne possédant aucune des contre-intrigues qui font le sel de nombre de romans science-fiction. Arthur Clarke raconte son histoire en la menant de son commencement à sa fin, ne s’accordant qu’à peine le luxe d’un coup de théâtre – d’ailleurs tout relatif – ou d’un « suspense » passager.

Cependant, s’il renonce à ces ressorts familiers, l’auteur apporte d’autre part une fraîcheur nouvelle aux éléments grâce auxquels il bâtit son récit et son décor. Pour apprécier cette qualité, il est sans doute bon de dire d’abord ce que « La cité et les astres » n’est pas.

Une civilisation en apparence idéale – ici, celle de Diaspar – et un protagoniste qui en découvre peu à peu les faiblesses : on reconnaît là l’intrigue utilisée par Cyril Kornbluth et Frederik Pohl dans « The space merchants »6 et ultérieurement exploitée, par les mêmes auteurs, dans un roman moins heureux, « Gladiator-at-law ». Cette idée centrale fournit encore le fond d’un autre ouvrage, plus récent et franchement médiocre, « Preferred risk »7 . Dans tous ces romans, le protagoniste est au départ un membre de l’« élite » au pouvoir et il en découvre progressivement la perversion ; il se joint au « maquis » qui lutte contre elle et contribue donc à l’établissement de ce qu’on peut appeler un ordre meilleur. Quelles que soient leurs autres qualités, tous ces récits ont une faiblesse fondamentale : la conversion du héros n’est jamais convaincante, car sa cécité à l’égard des défauts de la pseudo-élite est invariablement exagérée. Or, Clarke a entièrement évité cet écueil.

Parfaite, la cité de Diaspar ? Ses habitants la croient telle, et Alvin lui-même pense comme eux au début de l’action. Cependant, cette perfection toute relative n’est point le prétexte d’une opposition facile avec la culture fort différente de Lys : Alvin n’abandonne pas l’idéal de la première pour celui de la seconde, l’auteur ayant eu l’habileté de pourvoir chacune des deux cités de caractéristiques favorables. Même après la découverte de Lys, qui lui révèle beaucoup de valeurs qu’il ignorait, Alvin conserve de l’attachement à l’égard de Diaspar. Tout au plus se dit-il peut-être que sa ville à lui porte des marques plus profondes de son âge – en dépit de l’éternelle jeunesse de ses habitants.

Arthur Clarke ne cherche point à dépeindre une nouvelle Utopie. Il évite d’ailleurs le côté immobiliste des constructions utopiques en présentant chaque cité comme parvenue à une sorte d’aboutissement, qui pourrait bien être la sagesse de l’expérience. Ceux qui ont dressé les plans de Diaspar, il y a fort longtemps, n’ont-ils pas été jusqu’à prévoir l’existence d’un Bouffon, destiné à apporter de l’imprévu dans l’existence bien ordonnée de la cité ? La faiblesse de Diaspar et de Lys ne réside aucunement dans la forme de bonheur qu’elles proposent à leurs habitants ; elle est dans l’oubli que leurs structures ont permis : l’oubli de la grandeur passée de l’humanité. Et c’est pour cela que les habitants de l’une et l’autre villes seront également décontenancés par les révélations qu’Alvin et son compagnon – Hilvar, natif de Lys – rapporteront de leur voyage.

L’action progresse selon un rythme lent, qui ne manque pas de grandeur : le lecteur sent que les personnages ont une longue vie devant eux et que, pour être pleinement réalisées, leurs découvertes doivent être faites de façon progressive. Ainsi, le refus presque complet des artifices habituels de construction (coups de théâtre, renversements de situations, etc.) contribue au caractère majestueux de l’ensemble.

De la même façon, les personnages ne sont pas vigoureusement différenciés. Il serait naïf de s’en étonner : dans l’état atteint par la science en ce lointain avenir, la réalisation systématique d’un type jugé parfait serait souhaitée par les responsables de Diaspar (mais non par ceux de Lys : et, précisément, les personnages qu’Alvin rencontre dans la seconde cité possèdent des individualités plus marquées). Un reproche en apparence plus grave viserait l’évocation un peu floue de la cité de Diaspar. Cependant, là aussi, l’effet est de toute évidence voulu : il présente au lecteur la ville comme à travers une brume, qui en estompe les arêtes et en confond les détails. Car là n’est pas le vrai sujet du roman.

Ce vrai sujet, c’est l’immensité du temps et de l’espace, devant lequel l’importance de l’humanité peut paraître médiocre. Mais cette humanité a eu sa grandeur, et il suffit qu’un seul de ses représentants en retrouve le souvenir pour que tout puisse changer. En dépit des apparences, « La cité et les astres » comporte un message optimiste, exprimé par le paragraphe ultime du livre :

« Sur cet univers, la nuit tombait ; les ombres s’allongeaient vers un orient qui ne connaîtrait pas d’autre aurore. Mais partout ailleurs, les étoiles étaient encore jeunes et la lumière du matin s’attardait ; et sur le chemin qu’il avait autrefois suivi, l’homme, un jour, irait de nouveau. » 

L’oubli de la grandeur humaine ne saurait être que momentané. En dépit des habitudes, si confortables soient-elles ; en dépit des illusions d’optique dues à l’éloignement dans le temps ou dans l’espace, l’homme a en lui la faculté d’aller de l’avant : ce qu’il a su faire une fois dans son passé, il sera à même de le refaire, et de le continuer. Tel est le message qu’Arthur Clarke a choisi de placer au centre de son livre. Et il ne l’a pas exprimé par la vigueur d’une épopée, mais bien par le charme d’un récit dont le caractère poétique est sans égal dans la science-fiction contemporaine. 

La poésie du style de Clarke est très différente de celle qui fit la réputation d’un Bradbury, mais elle n’est pas moins réelle. Les notations extérieures et les sensations intérieures sont alternées avec une rare délicatesse, de sorte que le caractère vivant de l’ensemble s’en trouve souligné. Paradoxalement, la poésie du « scientifique » Clarke se révèle plus humaine que celle du « littéraire » Bradbury : elle dit davantage en insistant moins sur l’intérêt de son message.

C’est pour toutes ces raisons que « La cité et les astres » est un livre inoubliable ; il est d’ailleurs mieux que cela : il unit les qualités les plus hautes de la vraie science-fiction – idées, narration, style – en un tout dont on chercherait vainement ailleurs l’équivalent.

Demètre Ioakimidis.

Rapport du PReFeG (Avril 2025)

  • Relecture
  • (Rares) corrections orthographiques et grammaticales
  • Vérification du sommaire
  • Ajout de la couverture complète
  • Vérification des casses et remise en forme des pages de titre
  • Mise en forme des titres présentés in "Revue des livres"
  • Ajout de la Table des "Nouvelles des auteurs de ce numéro" telle qu'évoquée dans le sommaire sur NooSFere mais n'apparaissant pas dans le epub d'origine.
  • Notes (0), (4b), (5b), (5c) (5d) et (7b) ajoutées, et note (7) augmentée.
  • Vérification et mise à jour des liens internes
  • Mise au propre et noms des fichiers html
  • Mise à jour de la Table des matières
  • Mise à jour des métadonnées (auteurs, résumé, date d'édition, série, collection, étiquettes)

En cliquant sur les noms des auteurs de ce numéro

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A suivre : Fiction n°109.

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